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Petites leçons de moralité malvenues
06/11/2009 21:35
Depuis le 12 octobre, et encore pour quelques semaines, nous pouvons entendre à la radio des spots publicitaires assez curieux.
En effet, Éric Woerth, ministre du Budget, des comptes publics, de la Fonction publique et de la réforme de l’État (rien que ça !), et Pierre Burban, président du Conseil d’administration de l’Acoss (caisse nationale des Urssaf), ont lancé la première campagne de sensibilisation du grand public aux risques liés aux fraudes fiscales et sociales.
Et quelle campagne ! Celle-ci illustre par des cas concrets le danger des attitudes trop complaisantes vis à vis de la fraude dite « ordinaire » en insistant lourdement sur le fait que les fraudeurs portent atteintes aux valeurs de solidarité de toute notre société. Les gentils pouvoirs publics, quant à eux, se mobilisent contre la fraude « parce qu’agir contre la fraude, c’est agir pour plus de justice ».
Dix spots sont ainsi diffusés depuis la mi-octobre sur les grandes radios généralistes. Les thématiques abordées sont celles du travail dissimulé, des fraudes fiscales et des fraudes aux prestations sociales et se retrouvent toutes illustrées de manière grand-guignolesque : celui ou celle qui refuse légitimement de frauder s’oppose en effet à un mauvais génie et amène ainsi l’auditeur, considéré une fois de plus comme un véritable benêt, à prendre conscience de l’enjeu car « frauder, c’est perdant pour tout le monde ».
Mais bien curieuse leçon de moralité que celle visant à toujours culpabiliser les mêmes personnes.
Aussi, ne me semble t-il pas inutile de rappeler que pendant que le Pouvoir se livre à quelques cours d’éducation civique sur les ondes, les révélations concernant l’Angolagate continuent d’éclabousser nos anciens dirigeants ; les soupçons d’une responsabilité de notre classe politique dans les attentats de Karachi se font de plus en plus sérieux ; l’incompréhension la plus totale règne concernant les tenants et les aboutissants de l’affaire Clearstream ; notre ministre de la culture plaide pour les rapports sexuels avec les « éphèbes » de… 40 ans (sic !) ; le fils du Président tente désespéramment de se trouver un strapontin au soleil tandis que son père fait installer une douche de plus de 245 000 € au Grand Palais, aux frais du contribuable bien sûr, dont il ne se servira même pas. Mais, ne soyons pas mauvaise langue, peut-être cette dernière va-t-elle servir à laver tous les amis de ce même Pouvoir qui se sont exilés fiscalement en Belgique ou en Suisse…
Bien évidemment, pas un mot sur toutes ces dérives, la remise en question ne semblant pas être la qualité principale de ces hypocrites donneurs de leçons. Les français, quant à eux et malgré le fait qu’ils soient pourtant honnêtes dans leur très grande majorité, semblent condamnés encore longtemps à devoir subir les leçons de morales et de vertus prodiguées par des personnes auxquelles ces mêmes principes sont totalement étrangers…
Cependant, la question se pose : quelles sont les personnes les plus « nuisibles » à notre société ? Qui sont véritablement les ennemis de la République ? Les boucs émissaires habituels ? Ou plutôt les hommes et les femmes qui se jettent sur cette République tels des sangsues, vidant cette dernière de son sens et de ses valeurs pour pouvoir repaître leurs petites ambitions personnelles, quitte à ôter toute exemplarité au champ politique, c’est-à-dire là où nous en avons pourtant le plus besoin ?
A méditer…
Par Philippe Julliard, Conseiller National DLR
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Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?
06/11/2009 16:42
Faut-il avoir honte de l'identité nationale ?
Auteur : Daniel Lefeuvre et Michel Renard
Edition : Larousse
Collection : A dire vrai
Edité le : 29/10/2009
Nombre de pages : 189
ISBN : 2035837065
Mot de l’éditeur
Entre intégration européenne, problèmes liés à l’immigration et ministère de l’identité, les Français n’en finissent pas de s’interroger sur la question de l’identité nationale. Les remontées du passé colonial avec toutes les polémiques qui s’en sont suivies, les questionnements sur l’avenir de
la France au sein d’une mondialisation de plus en plus présente, le déclin du prestige culturel et de la puissance de notre pays, la montée des communautarismes : autant de phénomènes qui concourent à brouiller les identités et la perception que les Français en ont. Replaçant ce débat dans le temps plus long de l’histoire, Daniel Lefeuvre et Michel Renard essayent de redéfinir ce qui fait qu’aujourd’hui on est français et posent la question de l’évolution et du devenir de cette identité.
Avis de PW
Une étude passionnante qui remet en cause les outrances d’une certaine nomenklatura qui n’a de cesse de lancer des « fatwas » irréfléchies contre le ciment principale de notre pays : l’identité nationale, loin d’être le mythe qu’ils tendent à faire croire par leurs discours abusifs.
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Identité nationale : un débat détourné
06/11/2009 15:41
Le quotidien Le Monde a publié jeudi 5 novembre un point de vue de NDA à propos du débat sur l’identité nationale, lancé par le gouvernement. Nous en proposons ici une version augmentée.
L’identité nationale n’est pas un slogan électoral !
Pauvre Nation ! Après avoir été abandonnée, raillée, la voilà désormais, à la veille de chaque échéance électorale, instrumentalisée comme on sort une vieille relique lors des grandes processions.
L’identité nationale est à la mode !
Cruel paradoxe de voir ceux qui ont toujours moqué « l’exception française » soudain s’en emparer pour masquer l’échec de leur politique qui, de fait, la remet en cause.
Car l’identité nationale n’est pas un objet qu’il faudrait, à intervalles réguliers, vénérer pour faire oublier la dureté des temps ; pire en faire un thème de discorde pour rassembler le camp des soi-disant « bons Français » contre celui des « mauvais ».
L’identité nationale doit, à l’inverse, être une dynamique de rassemblement, sous-tendue par des valeurs, une histoire partagée, une pluralité de terroirs et d’arts de vivre, des institutions et les grandes lignes d’un projet de société. Qu’est-ce qu’être français ? C’est un « vouloir vivre ensemble », assis sur un tempérament collectif patiemment mûri par les siècles, qui suppose des politiques publiques ambitieuses au service d’un idéal.
Car oui ce plébiscite de tous les jours, cher à RENAN, ne tombe pas du ciel pour être partagé par le plus grand nombre. Il doit être ardemment désiré et méticuleusement bâti par les Elus du peuple.
Ce vouloir vivre ensemble a un nom : la République.
Il a un idéal : liberté, égalité, fraternité.
Il a un acteur central, l’Etat, creuset de la Nation à travers les âges, qui, par delà les régimes et les alternances, demeure le gardien de l’intérêt général, contre l’emprise des féodalités et des intérêts particuliers.
Enfin, ce vouloir vivre ensemble a une langue, le français, qui fédère les citoyens et forge la communauté nationale, en lui offrant notamment le socle d’une civilisation singulière.
Cette République française est exigeante avec, en premier lieu, un devoir d’exemplarité que les anciens appelaient la vertu. Une vertu qui doit être incarnée par ses élites si elles veulent être suivies. Comment le pourraient-elles aujourd’hui tant elles font honte ?
La République est exigeante car elle doit apporter l’ordre et le progrès. Or, de nos jours, l’anarchie économique s’accompagne de la régression sociale et du désordre dans la rue.
Il ne sert à rien d’organiser des débats dans les Préfectures sur l’identité nationale si la souveraineté populaire, le pouvoir du peuple par le vote de décider de son propre destin, est transférée à Bruxelles ; si l’on réduit les effectifs de Police et que l’Etat régalien n’a plus les moyens de jouer son rôle ; si l’école n’incarne plus un espoir de promotion sociale ; si on laisse se développer les ghettos et les communautarismes contraires à l’indépassable unité du peuple français et à une citoyenneté laïcisée qui définit, précisément, l’appartenance à la Nation ; si l’Etat aménageur du territoire déserte, livrant à elles-mêmes des collectivités locales fiscalement rabougries et ne pouvant compter que sur la mise à contribution de leurs propres habitants pour équilibrer leurs comptes ; si les responsables politiques, économiques et scientifiques laissent tomber le français ; si la fiscalité tond les classes moyennes et épargne les plus riches ; si, enfin, les services publics sont privatisés tandis que les entreprises délocalisent à tour de bras et n’offrent plus les emplois qui permettent de vivre dignement.
En définitive, la République est exigeante car elle suppose avant tout le respect du peuple. Un peuple qui n’est pas dupe de la démagogie et de l’impuissance publique qui sont, en fin de compte, les deux faces d’une même médaille : celle du renoncement au modèle français.
L’introspection collective sur l’identité nationale, à laquelle prétend nous inviter le pouvoir, devrait mener à revisiter et remettre en perspective ce qui nous rassemble tous, fondamentalement, par delà les origines, les religions, les chapelles, les intérêts et les partis. Ce, afin de rendre plus forts les Français du XXIème siècle, de leur rendre amour et estime de leur pays. « Le patriotisme, c’est aimer son pays, le nationalisme, c’est détester celui des autres. », affirmait Charles de Gaulle. Oui, nous avons besoin, à nouveau, d’estimer et d’aimer la France pour ce qu’elle est, en en acceptant l’identité politique, linguistique et historique. Non, il n’est pas souhaitable de la réduire, par électoralisme, à une définition ethnique et culturelle, nationaliste, au prix d’un renoncement à son modèle d’assimilation républicaine.
En cédant à la tentation de fourvoyer le débat sur l’identité nationale, Nicolas Sarkozy va affaiblir la Nation parce qu’il va la diviser là où il devrait la rassembler, et parce qu’il va l’enfermer dans la fausse alternative entre, d’un côté, un nationalisme antirépublicain et, de l’autre, un communautarisme antinational.
Alors oui, l’identité nationale retrouvera sa dynamique quand l’action publique redonnera un sens au fait d’être français.
Nicolas DUPONT-AIGNAN Député de l’Essonne Président du Rassemblement Gaulliste Debout La République
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Peu rassurant
06/11/2009 15:31
Un conseil municipal plutôt terne qui s’est déroulé hier. Il est très vite apparu sur la forme un manque flagrant de compétence de certains élus, voir un certain manque de rigueur dans la préparation des dossiers à traiter durant cette séance. Cela ne fait que confirmer la position de DLR vis-à-vis de l’amateurisme de certains administratifs ayant en charge ces conseils municipaux, ces produits de l’ère Dalongeville, qui ont été maintenus en dépit du bon sens. A notre grand étonnement, c’est à un FN plutôt conciliant que la majorité a eu à faire ! Hors mis quelques envolées verbales de la passionaria du FN, la fille du père, (encore un pur produit du népotisme allant à l’encontre de l’égalité républicaine), qui ne fut pas à la hauteur de sa réputation, pour nous infondée, d’oratrice en verve. Ce fut dans l’ensemble une opposition des plus consensuelles qu’il nous a été donné de voir, pour le plus grand plaisir du maître de cérémonie pour cette soirée. Sur la forme, quelle ne fut pas notre déception de voir la majorité décidant de ne pas poursuivre l’Etat pour ses carences de surveillance durant l’ère Dalongeville. Les explications hors sujets et brouillonnes de l’élu responsable des affaires juridiques n’auront fait qu’accentuer cette déception devant une telle inertie, une telle passivité, un tel manque de courage ! Bref, le FN, unique opposant d’une majorité effacée, jubile devant ce boulevard jonché de fleurs que lui offre cette même majorité pour la conquête future du siège majoral. Rien de bon en perspective hélàs !
Le Comité DLR
Commentaire de manéthon (06/11/2009 17:18) :
Quid de la présence de JP Corbisez et aussi d'Eric Mouton ?
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Commentaire de What else (07/11/2009 09:17) :
Au Comité DLR
Je revendique votre ton direct empreint de franchise et la justesse de
votre analyse.
Je sais que votre position n'est pas facile au vue "des conditions de
travail" d'un de vos membres......
Mais j'apprécie sa force de conviction souvent revendiquée même à
l'époque de la dallongevillie lui déclenchant de multiples brimades et
souffrances.
Avec mon soutien infaillible ainsi que celui de mes amis, sachez que nous
resterons attentifs à ce que la liberté d'expression demeure un
symbole de la Démocratie à Hénin Beaumont.
En vous assurant de notre Vigilance et de notre Témoignage.
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Commentaire de DLR1 (canal historique) (07/11/2009 16:59) :
En ce qui concerne les soucis occasionnés par l'emploi d'un des
notres nous sommes prêts à le défendre de l'erreur qu'ont
certains supérieurs hiérarchiques à faire en confondant devoir de réserve
et liberté d'exprexsion et de conscience. C'est encore un
héritage culturel propre au Bassin minier que de réagir de cette manière.
Certains ne sont toujours pas prêt à appliquer la véritable démocratie. De
toute manière, notre juriste et notre Président Départemental sont prêts à
faire respecter les droits de notre adhérent. Pour l'instant, la
menace n'est pas encore passé des faits mais nous ne relacheront pas
notre surveillance. Merci toutefois de votre soutien.
Le Comité DLR
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Commentaire de cimares (10/11/2009 15:04) :
C'est, ordinairement le rôle des syndicats et des représentants du
personnel que de veiller au strict respect des règles régissant le
personnel.
Et de rappeler à l'ordre ceux qui se fourvoient.
Mais hélas, comme en bien d'autres domaines, si chaque composante
avait respecté sa mission, la situation n'en serait pas à ce
qu'elle est aujourd'hui et l'on ne serait pas à poser sur le
blogs des questions qui devraient être résolues depuis longtemps.
Toutefois, ce moyen d'expression permet de dénoncer les positions
dominantes ou abusives. On comprend donc mieux les craintes exprimées ici
ou là par ceux qui n'ont pas la possibilité de contraindre ce moyen
d'expression, à commencer par la Voix du Nord qui s'interrogeait
sur la "dictature" des blogs il y a quelques jours...
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Commentaire de Rose (11/11/2009 10:18) :
On devrait commencer par vous pour faire le ménage
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Commentaire de DLR1 (canal historique) (11/11/2009 12:23) :
à Rose,
Pouvez vous éclaircir votre propos car il nous est dans l'état
impossible de vous répondre !
à Cimarès
Des analyses toujours aussi pertinente, je continue à dire que la ville
d'Hénin aurait tout à gagner d'un homme comme vous ! Amitié !
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Commentaire de cimares (12/11/2009 17:49) :
A DLR 1
Merci! vous me flattez!
j'ai déjà officié, non pas à la ville, mais à la communauté
d'agglomération pendant presque 10 ans.
Cette expérience m'a permis d'analyser et de travailler dans le
sens que j'exprime régulièrement sur les différents blogs.
Malheureusement je n'ai pas du répondre à ce que l'on attendait
de moi, vu le sort qui m'a été réservé.
Sur ces dix années passées dans le bassin minier, les cinq dernières auront
été les plus pénibles de ma carrière.
Par bonheur, le tribunal administratif a tranché en ma faveur dans quatre
instances distinctes. Malheureusement, la longueur des procédures fait que
raison est donnée bien tardivement... Ma santé en a pris un coup, mais pas
ma détermination.
Je regrette ne pas avoir saisi le juge pénal; après tout, j'aurais pu
m'amuser à voir l'immunité parlementaire levée pour la partie
adverse, mais c'était encore devoir remuer des situations que je
souhaitais évacuer, et continuer à agir seul, hélas.
Parce que dans ces cas là, personne ne vient vous aider, pas même les
syndicats auxquels vous adhérez.
Ce que j'espère, c'est que personne d'autre n'ait à
subir la hargne de ce type d'élu mal intentionné... et pervers.
Dans l'immédiat, cet élu sévit toujours dans la 14e circonscription,
mais a perdu de son aura, ses turpitudes ayant été dénoncées dans son
propre milieu. Il ne faudrait pas qu'il profite encore de sa situation
pour se faire nommer sénateur ou repartir pour un mandat de député,
profitant une nouvelle fois de la culture de soumission très en vogue dans
le département.
De même, il ne faudrait pas que demain, cet élu continue à profiter des
faiblesses de la République pour se faire délivrer la Légion d'Honneur
quand il ne sera plus parlementaire.
Il ne mérite qu'une seule disctinction: celle de se retirer sur la
pointe des pieds, pour le plus grand bonheur d'un secteur qui a besoin
d'hommes politiques disposant d'une vision territoriale et
d'une capacité d'action un peu différentes de ce que ce
territoire connaît aujourd'hui.
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Banques : quand on veut, on peut !
06/11/2009 09:17
A la une du Parisien : « Faut-il faire encore confiance aux banques ? ». Quelle naïveté, car bien évidemment la réponse est non !
Mais à qui la faute ? Aux banques qui profitent d’un refinancement à 1% et qui prêtent à 4 ou 5 ? Aux banques, qui tondent les déposants en profitant du maquis de la réglementation ? Ou plutôt à l’Etat, c'est-à-dire au pouvoir politique, qui se refuse à contrôler, à réglementer leurs activités ?
Bien évidemment tant que le gouvernement se couchera devant Mr Pébereau et consorts, rien ne changera. Les PME seront tous les jours un peu plus étranglées, les particuliers souffriront un peu plus et les profits des banques, au lieu de servir l’économie productive, alimenteront la spéculation et les bonus de ceux qui l’organise.
Que faire ? Pour remettre de la concurrence et défendre les particuliers, on doit créer en France les « actions de groupe » (plaintes collectives), dont le pouvoir dissuasif envers les entreprises indélicates est reconnu de tous. Pour aider les PME, il faudra bien nationaliser 1 ou 2 banques afin de casser l’oligopole privé qui s’est constitué et garantir ainsi, grâce à l’intervention publique, un surplus de concurrence ! Mais surtout, la réforme fondamentale consisterait à séparer de nouveau les activités bancaires de détail d’un côté, et d’investissement de l’autre.
Mais, là aussi, c’est la volonté qui manque car la nomenklatura qui gouverne la France pantoufle allégrement dans le secteur bancaire, oubliant qu’il n’y a pas d’économie forte sans industrie puissante.
Sans changement profond à la tête de l’Etat, les prédateurs, hélas, auront encore de beaux jours devant eux…
NDA
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